Un peu de poésie
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Voici quelques (mauvaises) traductions personnelles...
Benjamin Britten, Flower songs
La ballade des verts genêts
Verts genêts, verts genêts ... Il était une fois un vieil homme qui vivait dans les bois, De la coupe des verts genêts, verts genêts ... Il n'avait qu 'un fils, sans bien ni cervelle, Qui restait au lit jusqu'à la mi-journée, mi-journée... Un matin, le vieil homme se leva et parla; Il jura qu'à cette pièce le feu il mettrait, il mettrait... Si son Jean n'ouvrait pas l'oeil, Et n'allait pas, dans les bois, couper des verts genêts, verts genêts... Alors, Jeannot se leva, passa ses habits Et partit dans les bois couper des verts genêts, verts genêts. Il affûta ses lames et pour une fois, Coupa une grosse botte de verts genêts, verts genêts. Lorsque Jeannot passa devant la belle demeure d'une demoiselle. Devant une pièce raffinée, raffinée... Celle-ci appela sa servante et lui dit; "Va me chercher ce garçon qui vend des verts genêts, verts genêts... Alors, Jeannot entra dans la belle demeure de la demoiselle, Et dans cette pièce raffinée, raffinée... "Jeune homme," dit-elle, "Veux-tu abandonner tes verts genets Et épouser une demoiselle dans ses jeunes années, jeunes années ? Jeannot accepta. Tous deux allèrent à l'église, Et il épousa une demoiselle dans ses jeunes années, jeunes années... Au marché et à la foire, tous s'accordent à dire Qu'il n'est plus bel homme que celui qui vendait des verts genèts. verts genêts...
À Léonard et Dorothée Elmhirst, à 1'occasion de leur vingt-cinquième anniversaire de mariage. Le 3 avril 1950.